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OUI à la carrière des Râpes !

Sûre, écologique et

pour Saint-Maurice !

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Nous soutenons le OUI

Actrices ou acteurs locaux, professionnels spécialisés ou citoyen(ne)s agaunois(e)s, ces personnalités ont accepté de s'engager en faveur du OUI, et d'accorder leur confiance au processus en cours.

Ce qu'ils en disent :

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Florence Rappaz Bovet
Présidente de la Bourgeoisie
« La carrière représente un revenu important dans l'équilibre financier de la Bourgeoisie »
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Lionel Coutaz
Ancien Président
« L'assemblée bourgeoisiale s'est prononcée en la faveur du projet en 2017 »
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Joël Bochatay
Ingénieur en environnement
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Raphy Coutaz
Bourgeois habitant Epinassey

Voter OUI au projet de PAD, c'est garantir un avenir équilibré du site, avec un retour à la nature planifié.

Une exploitation maîtrisée

Les conditions d'exploitations sont clairement encadrées pour en réduire les nuisances.

Image by Gabriel Jimenez

Un futur écologique

La re-naturation a été élaborée avec les organisation écologistes et validée par les instances compétentes.

Image by Nikola Jovanovic

Des retombées profitables

Les revenus générés par l'exploitation sont ré-investis ou re-distribués localement

Image by Austin Kehmeier

POURQUOI

Voter

VOTER OUI ?

    • L'exploitation future de la carrière est strictement encadrée par les dispositions réglementaires de la zone, et fera l'objet d'un suivi environnemental.

    • Des mesures sont intégrées au règlement pour la gestion des déchets, le respect des tonnages extraits, les conditions de transport.

    • Le nombre de minage sera quant à lui limité à 6 par an, strictement encadrés par des conditions inscrites dans le règlement du PAD.

    Plus d'information ici >

    • La poursuite de l'activité d'extraction est nécessaire pour sécuriser la zone, le pied de falaise étant menacé par la chute potentielle de blocs sis en amont de la falaise. Exploiter cette zone en l'état, pour y recevoir des matériaux de comblage par exemple, est impossible en raison des dangers existants.

    • L'équilibre économique de l'opération s'appuie sur les recettes générées par l'extraction, puis par le remplissage du site, qui permettent de financer les coûts liés à la renaturation, entièrement pris en charge par l'exploitant.

    • Les mesures effectuées n'ont révélé aucun dommage aux propriétés privées ou publiques environnantes.

    • Un dispositif de surveillance, notamment lors des minages, sera maintenu durant la phase d'exploitation.

    • La phase d'extraction se poursuivra durant les 15 premières années suivant l'autorisation d'exploiter.

    • Une renaturation progressive sera opérée durant cette phase.

    • En parallèle, et au plus tard dans les 30 ans suivant la dite autorisation, une phase de remplissage du site sera opérée, avec renaturation complète à l'échéance « + 30 ans », au terme de laquelle l'exploitation sera terminée.

    • La redevance versée à la Bourgeoisie par l'exploitant s'élève à un peu plus de CHF 300'000.- par an, soit près de 20% des recettes annuelles de l'institution.

    • Cette contribution permet notamment à la Bourgeoisie de soutenir les activités sportives, sociales et culturelles agaunoises, pour un montant annuel pouvant atteindre CHF 140'000.-.

    • Par ailleurs, la commune bourgeoisiale s'acquitte d'impôts communaux et cantonaux à hauteur de CHF 100'000.- environ par an.

    • Historiquement active depuis 1958, la carrière des Râpes a été inscrite dans le Plan directeur Cantonal, ce qui signifie qu'elle correspond à un besoin d'approvisionnement en matériaux et que sa localisation est justifiée, sans conflit majeur avec l'environnement, les installations tierces et les risques de dangers naturels.

    • Le processus en cours, initié en 2017 par une décision de l'Assemblée Bourgeoisiale, sera interrompu et plusieurs années d'études et de procédure rendus caduques. Les dépenses engagées pour celles-ci seront perdues.

    • Outre la remise en cause possible du contrat liant la Bourgeoisie à l'exploitant actuel, c'est l'avenir même du site qui sera remis en question, avec la perspective du gel de la zone en l'état pour plusieurs décennies.

Les réponses à vos questions

  • C'EST FAUX :

    • la carrière actuelle a été exploitée sans interruption depuis 1959, et la procédure en cours vise à refonder les bases légales de celle-ci, rendues caduques par des modifications législatives.

  • C'EST FAUX :

    • l'exploitation est et sera soumise à des règles très strictes de limitation des nuisances (bruit, qualité de l'air, accès) et des dangers, naturels ou inhérents aux travaux pratiqués sur le site.

  • C'EST FAUX :

    • l'inscription de la carrière des Râpes dans le Plan directeur cantonal témoigne de son utilité et justifie son implantation.

  • C'EST FAUX :

    • la dépréciation potentielle des bâtiments alentours n'est absolument pas fondée, la présence de la carrière depuis plusieurs décennies n'ayant en aucun cas entravé les plus-values immobilières enregistrées sur le secteur.

    • Le rendement insuffisant de l'activité pour la commune municipale n'est démontré par aucune étude économique crédible.

    • Quant au frein potentiel à l'arrivée de nouveaux habitants ou de nouvelles entreprises, il est démenti par le développement démographique et économique de la commune, et les nombreux chantiers de construction en cours pour les accueillir.

  • C'EST FAUX :

    • des études ont été conduites dans le cadre du PAD pour un retour à la nature respectueux du paysage et de l'environnement à 30 ans.

    • Les solutions retenues dans ce cadre ont été validées par les autorités cantonales compétentes et par plusieurs entités de défense de l'environnement.

Ce que prétendent les opposants

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Pour toutes ces raisons, et pour l'avenir du site des Râpes 

Le 28 septembre prochain

Votez OUI au P.A.D. !
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